Il y a, je le crains, une colère divine
Qui déploie son courroux, nous fait courber l’échine.
Ne vois-tu pas, ô Prince, toutes ces manigances ?
Ces petits jeux des hommes passés sous ton silence ?
Je refuse cette justice qui tire ses lois du ciel.
Vois la terre, touche : nous ne sommes pas immortels !
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